Goldorak est une figure qui a marqué des millions de Français. Il est une icône de la pop culture aujourd’hui. A travers le témoignage d’experts et de personnalités, le documentaire narre l’histoire et rend hommage à Goldorak, le robot héros du dessin animé qui a révolutionné la programmation jeunesse de la télévision des années 80 et qui a popularisé le genre, à tel point que la France est devenue 30 ans plus tard le 2ème marché mondial du manga après le Japon. Raconter Goldorak c’est donc raconter une folle aventure, c’est rendre ses lettres de noblesse à une série pourtant décriée et moquée pendant une décennie, c’est célébrer un pays qui nous fascine, c’est se replonger dans la télé des années 80, c’est essayer de comprendre comment un robot monstrueusement fort est devenu une icône de la pop culture française. Un personnage que même les plus jeunes connaissent.
On December 11, 2022, Ryuichi Sakamoto’s solo piano performance will be streamed in the form of a concert. However, what we will experience that day is carefully recorded footage of Sakamoto performing a few pieces of music each day over the course of a week, that was then thoughtfully edited together. This is last performance.
A compilation of avant-garde artwork and talent of the mid to late 20th century hosted by Ryuichi Sakamoto.
« J’envie les Japonais », écrivait Van Gogh à son frère, Théo. Grâce à l’exposition sur laquelle est basé ce film, « Van Gogh et le Japon », au musée Van Gogh d’Amsterdam, on comprend pourquoi. Bien que Vincent Van Gogh n’ait jamais visité le Japon, il reste le pays qui a eu le plus d’influence sur lui et son œuvre. En se rendant dans les galeries d’art japonais à Paris et en créant sa propre image du Japon après des recherches approfondies, des collections d’estampes et de longues discussions avec d’autres artistes, la découverte des œuvres japonaises entraîna la carrière de Van Gogh dans une nouvelle direction très excitante.
Jo Kondo (*1947) is one of the most interesting composers of contemporary music in Japan. His music is composed intuitively and at the same time it is highly abstract. Without clear directionality and at the same time not without form. For a Japanese audience it sounds “Western” and in the West it is regarded “Japanese”. A music in between categories. Like Kondo’s music the film is shifting between places and directions: a concert in the Muziekgebouw in Amsterdam, an elaborate sushi bar in Tokyo, a CD-production in a Cologne radio station, the Zuisenji temple in Kondo’s neighborhood in Kamakura. Kondo wants his music to appear “normal”, without spectacular surface or narrative elements. A concept of “normality” you may also find in the films of Japanese filmmaker Yasujiro Ozu, who – like Kondo – spent most of his life in Kamakura.