Au commencement était le fer à repasser géant. Puis arriva une fille sur une Vespa, des guitares électriques hurlèrent dans la nuit et des robots jaillirent de nulle part. Le chaos fut total avant de s’évanouir dans le ciel sur les ailes d’un gigantesque oiseau de feu. Bien des années plus tard, dans la même petite ville, une collégienne coupée du monde par un étrange casque high-tech rêve de carnage et de destruction…

Hidomi, choquée de voir à quel point Haruko parvient à manipuler le reste de la classe, n’accepte que du bout des lèvres d’aller porter ses devoirs à Ide, qui est absent. Pourtant, elle ne va pas regretter le voyage.

Suite aux événements du précédent épisode, Hidomi la solitaire introvertie s’est métamorphosée en une espèce de lutin monté sur ressorts et complètement azimuté. Sa mère se réjouit de ce changement, mais elle est à peu près la seule. Ide est écœuré et Haruko tellement en colère qu’elle s’allie à Jinyu pour s’en prendre directement au responsable, Medical Mechanica.

Cette fois-ci, c’est au parc d’attractions qu’une Haruko munie d’un gros ventre rétractable à volonté a décidé d’envoyer ses élèves, après leur avoir annoncé sa démission pour cause de mariage. Comme on pouvait s’y attendre, le but n’était pas réellement de leur permettre de se détendre.

Au commencement était le fer à repasser géant. Puis sont arrivées deux filles qui n’en étaient qu’une seule en réalité, des guitares électriques ont hurlé dans la nuit et le jour, des robots ont jailli de nulle part. La boucle est bouclée par Hidomi qui affronte Haruko pour libérer Ide et la ville de son emprise, jusqu’à l’intervention d’un joueur d’une tout autre envergure.