Un drame s'est noué dans les vignobles de Bandol. Xavier Peretti, maître de chai, a été assassiné dans sa salle à manger. Il a ensuite été traîné jusque dans la cave à vin. La position du corps suggère que la victime a voulu désigner quelque chose en mourant. L'équipe interroge Patricia Vautrin, associée de Peretti. Elle n'est autre que la cousine de Caïn. C'est elle qui a découvert le corps. Caïn espère que cela facilitera l'enquête. Des secrets de famille bien enfouis ne tardent pas à ressurgir...

Un coup de couteau porté de face a coûté la vie à Stéphane Duchamps, autre cousin de Caïn, sous les yeux de nombreux témoins, dont les membres de l'équipe. Mais personne n'a rien vu. Caïn a une explication avec Patricia, qui était au courant pour Camille, et qui n'a jamais oublié Laura, son amour de jeunesse. Il la soupçonne du pire. La famille se remémore le passé. Pour Caïn, une séance d'hypnose s'improvise avec l'aide de Legrand...

Un pêcheur trouve un corps au large de Marseille : c’est David Ferrara, restaurateur dont l’établissement est encensé par les critiques gastronomiques. Il a reçu un méchant coup sur la tête, mais contre toute évidence il n’est pas mort noyé mais électrocuté. Caïn et l’équipe du SRPJ vont enquêter sur place et découvrent une situation explosive : Ferrara avait installé son restaurant juste en face de celui de Marius Pardon, le roi de la bouillabaisse depuis 40 ans. Les deux hommes étaient à couteaux tirés et tout accuse Pardon du crime. Chacun avait juré la perte de l’autre. Les choses se compliquent lorsque Caïn découvre que le chef- cuisinier du restaurant de la victime n’est autre que Julien Pardon… Le fils a donc trahi son père pour aller travailler chez l’ennemi. Pardon père et fils ne s’adressent plus la parole depuis des mois et déclarent se haïr. Pour Caïn, c’est là que se situe le nœud de l’enquête.

Caïn enquête sur la mort d’Enzo, un très beau mec qui travaillait comme Chippendales. Le club de striptease est dirigé par Etienne Sorlin, et par sa femme, Noémie. Caïn se focalise très vite sur Sorlin, le meneur de troupe, dont le charisme a fortement été mis à mal par l’arrivée récente d’Enzo. Les flics apprennent que celui-ci faisait du striptease pour payer ses études, sauf qu’il a lâché la fac depuis plusieurs mois. La victime voyait par ailleurs régulièrement Florence, une belle quadra. C’était quoi leur relation, qui n’était pas que professionnelle ? Car Florence est éditrice, et devait publier un roman d’Enzo, directement inspiré de son expérience dans le club. Pour trouver le coupable, Caïn ne va pas hésiter à infiltrer Legrand dans la troupe de Chippendales, ce que Lucie va avoir beaucoup de mal à accepter.

Romain, 18 ans, fait le saut de l’ange dans la voiture de sa fiancé, Alison Komolov, jeune prodige du violon. Cette voiture dont la direction a été sabotée, toutes les femmes Komolov l’empruntaient. Chacune aurait pu être victime… comme chacune pourrait être coupable. Face à ces virtuoses, Caïn ne doit pas lâcher le tempo. Dans la famille Komolov, la grand-mère, Maddy, premier violon à New York, fascine Alison. Mais cette diva supporte mal qu’on lui résiste. Elle aurait pu supprimer Romain pour qu’il ne révèle pas son secret le plus terrible. Paula, à l’inverse, a sacrifié sa carrière pour élever sa fille, et souffre de voir Alison lui échapper… Enfin, Alison, à qui l’on donnerait le bon dieu sans confession en l’entendant jouer, peut aussi s’avérer très jalouse... Qui a dit que la musique adoucit les mœurs ?

Alors que la société Enora se lance agressivement sur le marché tout nouveau des produits anti-âge pour hommes, Pascal Hachard, en charge de ce lancement, est sauvagement assassiné. Le meurtrier, indubitablement, vient de l’intérieur. Caïn mène l’enquête et découvre un monde d’artifices et de faux-semblants dirigé d’une main de fer par un PDG vieillissant et misogyne. Le meurtre de celui qu’il considérait comme un fils met en exergue une guerre de pouvoir où deux philosophies du management s’affrontent, incarné par Astrid la fille du patron et Solange la maîtresse de Pascal. Mais c’est l’Amour, au final, qui restera au centre de cette toile d’araignée, l’amour pour un homme ou l’amour pour un père…

Le docteur François Falardeau, qui venait de faire interner son épouse contre son gré, est retrouvé mort poignardé à son cabinet. Les soupçons se portent sur le cercle familial : l'épouse, les deux filles et la gouvernante semblaient en effet être en conflit ouvert avec le patriarche, et elle se sont justement évaporées dans la nature. Elles sont en route sur le chemin de Compostelle, pour un pèlerinage bien particulier vers le Couvent de la Victoire. Caïn part à leur rencontre, «adaptant la procédure à la réalité du terrain». Mais un second crime secoue les femmes Falardeau, au lendemain de l'arrivée de Caïn au gite. Lucie et Legrand sont appelés en renfort.

Caïn est sur la piste d’un gang de braqueurs. Legrand et Borel, en voulant les arrêter en « flag », se retrouvent prisonniers, et un braqueur reste sur le carreau. Legrand victime d’un choc perd la mémoire et les cambrioleurs réussissent à le retourner. La seule personne qui peut aider Caïn est Charlotte. C’est elle qui renseigne les braqueurs, mais c’est surtout elle qui est venu demander de l’aide à Lucie. Elle veut bien jouer les indics mais seulement contre une nouvelle identité… Mais qui est vraiment Charlotte ? Est-elle victime ou coupable ? Caïn doit-il vraiment lui faire confiance ? Pour une fois, il a la désagréable sensation de ne pas être celui qui tire les ficelles !