Bertran Pincus est un homme chez qui les relations humaines laissent à désirer. Il meurt soudainement puis ressuscite miraculeusement après sept minutes. Il se réveille alors avec le don particulièrement gênant de pouvoir parler à des fantômes. Pire, il semblerait qu'ils cherchent tous à obtenir quelque chose de lui, spécialement Franck Herlily qui le harcèle en lui demandant de tout faire pour annuler le mariage de sa veuve Gwen.

Le journal américain The Evening Sun de Liberty dans le Kansas possède une antenne nommée The French Dispatch à Ennui-sur-Blasé, une ville française fictive évoquant Paris dans les années 1950-60. Arthur Howitzer Jr., le rédacteur en chef du French Dispatch, meurt subitement d'une crise cardiaque. Selon les souhaits exprimés dans son testament, la publication du journal est immédiatement suspendue après un dernier numéro d'adieu, dans lequel trois articles des éditions précédentes du journal sont republiés, ainsi qu'une nécrologie : Les trois articles traitent de Moses Rosenthaler, un détenu psychopathe qui se révèle être un grand artiste peintre, des évènements de Mai 68 et enfin d'une enquête gastronomique qui vire au polar.

Tout le monde a été invité pour les soixante ans du chef de famille. La famille, les amis se retrouvent dans le manoir d'Helge Klingenfelt. Christian, le fils aîné de Helge, est chargé par son père de dire quelques mots au cours du dîner, sur sa soeur jumelle, Linda, morte un an plus tôt. Tandis qu'au sous-sol tout se prépare avec pour chef d'orchestre Kim, le chef cuisinier, ami d'enfance de Christian, le maître de cérémonie convie les invités à passer à table. Personne ne se doute de rien, quand Christian se lève pour faire son discours et révéler de terribles secrets.

Claire est sous l'emprise d'un nouveau culte mystérieux appelé Faults. Prêts à tout pour en faire sortir leur fille, les parents de Claire recrutent l'un des plus grands spécialistes de la "déprogrammation" un rien loser, Ansel Roth.

Un architecte célèbre, Jeremy Angust, se voit interpellé par une femme bavarde nommée Texel Textor dans un aéroport parisien. A cause d'elle, Jeremy manque son vol. Leur rencontre semble être fortuite mais bientôt Jeremy comprend que Texel est commandité par une organisation criminelle.

This series comprised six lectures on music, which cumulatively took the title of a work by Charles Ives, The Unanswered Question. Bernstein drew analogies to other disciplines, such as poetry, aesthetics, and especially linguistics, hoping to make these lectures accessible to an audience with limited or no musical experience, while maintaining an intelligent level of discourse: Bernstein provides two distinct meanings of the term ambiguity. The first is "doubtful or uncertain" and the second, "capable of being understood in two or more possible senses"

Dans l'Amérique des années 20, un jeune comédien est accusé d'un crime qu'il n'a pas commis.

Un anthropologiste improvise une tribu imaginaire de Nouvelle-Guinée avec les membres de sa famille pour couvrir la perte du budget qui lui avait été alloué...

This series comprised six lectures on music, which cumulatively took the title of a work by Charles Ives, The Unanswered Question. Bernstein drew analogies to other disciplines, such as poetry, aesthetics, and especially linguistics, hoping to make these lectures accessible to an audience with limited or no musical experience, while maintaining an intelligent level of discourse: Phonology is the linguistic study of sounds, or phonemes. Bernstein's application of this term to music results in what he calls "musical phonology".

Un étudiant pénètre dans les bas fonds de la prestigieuse société secrète abritée par son collège. En se ralliant à Skulls, Ryan Sommers sait qu'il ne devra jamais dévoiler le moindre secret sur l'organisation. Un jour, il est témoin d'un meurtre au sein de Skulls. Il va alors mettre sa vie en danger en essayant de comprendre ce qui s'est passé.

This series comprised six lectures on music, which cumulatively took the title of a work by Charles Ives, The Unanswered Question. Bernstein drew analogies to other disciplines, such as poetry, aesthetics, and especially linguistics, hoping to make these lectures accessible to an audience with limited or no musical experience, while maintaining an intelligent level of discourse: This lecture takes its name from a line in John Keats' poem, "On the Grasshopper and Cricket". Bernstein does not discuss Keats' poem directly in this chapter, but he provides his own definition of the poetry of earth, which is tonality. Tonality is the poetry of earth because of the phonological universals discussed in lecture 1. This lecture discusses predominantly Stravinsky, whom Bernstein considers the poet of earth.

Nos vies sont touchées par des algorithmes tous les jours, mais la plupart d'entre nous ne sont pas conscients de leur impact extraordinaire sur nos vies quotidiennes. Les Algorithmes peuvent guider une main de chirurgiens, construire des oeuvres d'art, ils contrôlent ce que nous lisons et les produits que nous achetons. Dans ce codage spécial, le professeur Marcus du Sautoy lève le voile sur Les règles secrètes de la vie moderne: Algorithmes.

1936. Une petite ville des Etats-Unis. Des parents d'élèves sont réunis dans une école pour une projection dont ils ignorent tout. Le but de cette séance : les alerter sur un nouveau fléau qui menace leurs chères têtes blondes. Un fléau présenté comme bien plus dangereux et pervers que toute autre drogue et qui a pour nom : la marie-jeanne...Devant le caractère outrancier et alarmiste du film, les parents d' élèves sont choqués et de plus en plus inquiets. D¹autant plus que le film, projeté par un conférencier en croisade, leur présente deux enfants qui pourraient bien être les leurs.Jimmy Harper et Mary Lane, deux élèves bien élevés, bien proprets et bien naïfs. C'est d'abord Jimmy qui va sombrer en devenant totalement obnubilé par la fameuse plante...

Un étrange touriste arrogant arrive au refuge de montagne Morskie Oko. Le lendemain matin, malgré le danger, il monte seul et commence la quête de lui-même.

Ginger, an orphan, is living with her foster-uncle, Rexford Whittington, a broken-down Shakesperian actor. Although denied the love of a mother and father, Ginger looks after her uncle, gives him lectures, loves him, defends him and keeps house for him. But, through a meddling do-gooder, she is placed in the home of the Parkers, and clashes immediately with the pampered young son, Hamilton.

This series comprised six lectures on music, which cumulatively took the title of a work by Charles Ives, The Unanswered Question. Bernstein drew analogies to other disciplines, such as poetry, aesthetics, and especially linguistics, hoping to make these lectures accessible to an audience with limited or no musical experience, while maintaining an intelligent level of discourse: Lecture 5 picks up at the early twentieth century with an oncoming crisis in Western Music. As these lectures have traced the gradual increase and oversaturation of ambiguity, Bernstein now designates a point in history that took ambiguity too far.

À la mort de leur mère, deux frères aux tempéraments diamétralement opposés opèrent une difficile et longue réconciliation sur fond de conquête spatiale, passion de l'un d'eux.

Encore méconnu, pas assez riche, et désespérant d'y changer quoi que ce soit à l'âge de quarante ans, Ku Kyung-nam ne peut plus échapper à l'étiquette de "réalisateur art et essai". Il se rend sur l'île de Jeju pour donner une conférence, à la demande de son ancienne école de cinéma. Devant quelques étudiants, il raconte sa carrière, mais plus il s'anime, plus son auditoire semble indifférent. Le directeur l'entraîne ensuite au restaurant, où leur ancien professeur, devenu un peintre renommé, les rejoint. Le vieil artiste s'est remarié, et sa jeune épouse n'est autre que l'amour de jeunesse de Ku Kyung-nam, qui lui écrit bientôt : "J'aimerais savoir si nous pourrions être plus qu'amis." Ku Kyung-nam décide de vérifier la chose.

With breathtaking clarity, renowned University of Massachusetts Economics Professor Richard Wolff breaks down the root causes of today's economic crisis, showing how it was decades in the making and in fact reflects seismic failures within the structures of American-style capitalism itself. Wolff traces the source of the economic crisis to the 1970s, when wages began to stagnate and American workers were forced into a dysfunctional spiral of borrowing and debt that ultimately exploded in the mortgage meltdown. By placing the crisis within this larger historical and systemic frame, Wolff argues convincingly that the proposed government "bailouts," stimulus packages, and calls for increased market regulation will not be enough to address the real causes of the crisis, in the end suggesting that far more fundamental change will be necessary to avoid future catastrophes.

A student takes a bizarre trip through the Italian Alps after being inspired by a professor's lecture on Beethoven's "Ode to Joy" from his Ninth Symphony.