Après la parution de son dernier roman, la narratrice, qui s'exprime à la première personne, a cessé d’écrire. Ce mutisme vient d’une fragilité qui se trouve amplifiée par des lettres anonymes l’accusant d’avoir fait beaucoup de mal à sa famille dans son précédent roman.
Une série de retrouvailles après plusieurs décennies, certaines en chair et en os, d’autres par le souvenir, dans la vie d’un réalisateur en souffrance. Premières amours, les suivantes, la mère, la mort, des acteurs avec qui il a travaillé, les années 60, les années 80 et le présent. L’impossibilité de séparer création et vie privée. Et le vide, l’insondable vide face à l’incapacité de continuer à tourner.
« Il était une fois un jeune prince que son père, le souverain du royaume d’Orient, avait envoyé en Égypte afin qu’il y trouve une perle. Lorsque le prince arriva, le peuple lui offrit une coupe pour étancher sa soif. En buvant, le prince oublia qu’il était fils de roi, il oublia sa quête et il sombra dans un profond sommeil… » Le père de Rick lui lisait cette histoire lorsqu’il était enfant. Aujourd’hui, Rick vit à Santa Monica et il est devenu auteur de comédies. Il aspire à autre chose, sans savoir réellement quoi. Il se demande quel chemin prendre. Au milieu de décors urbains grandioses, il cherche à briser le sort qui l’a plongé dans une mélancolie profonde. Sur sa route, des femmes telles des muses l’aideront à leur façon à trouver sa voie.
Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de fantasmes.
Val Waxman, un réalisateur qui a connu son heure de gloire dans les années quatre-vingt, met aujourd'hui en scène de simples spots publicitaires. À Hollywood, certains le traitent d'artiste, d'intello ou de perfectionniste maniaque, tandis que d'autres le considèrent comme un fauteur de trouble, un nombriliste névrosé et un incurable hypocondriaque.Val vient d'être viré de son dernier tournage au Canada. Il se sait au bout du rouleau. C'est alors que son ex-femme, Ellie, lui offre une chance inespérée de se refaire. Elle suggère au puissant producteur Hal Yeager, son patron et amant, de confier à Val la réalisation d'un film de 60 millions de dollars : « The City that never sleeps », une ode à sa ville favorite : New York. Poussé par son agent Al Hacks, Val emporte de justesse le contrat. Mais une « petite complication » surgit à la veille du tournage.
Après l'immense succès de son premier film, un jeune réalisateur se retrouve coincé entre art et marketing : il désire faire un film qui prête matière à réflexion, tandis que le studio aimerait quelque chose de simple qui soit certain de rapporter de l'argent.
Colin est étudiant en peinture en Italie, introverti et en proie à un vide dans sa vie. Il ne peint plus. Un week-end, il décide de rentrer en France afin de passer une journée avec ses amis qu'il n'a pas vu depuis longtemps. Mais cette petite fête ne se passera pas comme espérée. Le fossé qui s'est creusé entre lui et eux ne cesse de se creuser, jusqu'à un point tel que continuer à détourner le regard n'est plus possible.
Ariel is a painter who finds herself stuck in a creative slump that threatens her sanity. Meanwhile, her ego takes the shape of an Astronaut, looking for something that might awaken her from this creative and psychological state